Cette après midi, nous sommes allés à la Foire internationale de Toulouse.

Enfin "internationale", c'est un bien grand mot ... Avant, l'un des halls était consacré au tourisme : de nombreux régions et pays avaient un stand tenu par leur office du tourisme et selon le thème de l'année, certains pays étaient mis à l'honneur. Toute cette partie a disparu au profit de stands totalement commerciaux et sans intérêt puisque la majorité d'entre eux ont des clones place du Capitole chaque mercredi ...

J'y vais depuis que je suis toute gosse. J'aime regarder les bonimenteurs et l'atmosphère de bonne humeur qui y règne me revitalise.

Comme chaque fois, impossible de se garer à moins d'un kilomètre, nous voilà donc à remonter de la rue des teinturiers jusqu'au parc des Expositions. Nous nous sommes évidemment pris une averse à ce moment là. Le thème de l'année est "faites éclater vos envies", comprendre : "faites éclater votre budget" ... Tous les stands sont uniquement commerciaux, de quoi entièrement construire et meubler une maison du sol au plafond (construction, chauffage, isolation, salon, salle de bain, lit, cuisine, gadgets divers et variés ...), ainsi que le jardin, la piscine, le piano, le bateau, la caravane, le camping car ou le mobil home ...

Avec Chéri, on a découvert que nous avions désormais des têtes de vaches à lait. C'est la première fois que les vendeurs nous abordent en croyant que nous allons acheter alors que nous jouons à notre jeu habituel "et si on avait les moyens, tu prendrais quoi ?"

Evidemment, je ne suis pas repartie les mains vides.

Le passage dans le hall de la gastronomie (toujours le numéro 8) n'est pas possible sans que je succombe à mes pêchés mignons. J'ai ramené des nougats (des artisanaux de Montélimar, le stand est là chaque année) pour ma grand mère, elle n'a pas pu y aller cette année, trop fatiguée.

Chéri a aussi pris des nougats, des tendres. La dame nous a donné quelques échantillons pour tester, respectivement et de gauche à droite sur la photo : chocolat, lavande, dur et tendre. Vu que je n'aime pas le nougat, c'est ma mère qui va les goûtait.

De mon côté, je n'ai pas résisté aux macarons de Léopold, en rentrant, sur six, il n'en restait que trois : chocolat-orange, pistache et chocolat. C'est sucré et bourratif, j'adore.

J'ai aussi ramené une surprise dont je reparlerai dans quelques temps :